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01/05/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.4 personnes sur 5 ont trouvé cette critique utile.3/10
Revelation OnlineBof 1
Pour commencer, l'interface du jeu est en anglais (et les scènes en chinois : ? ) et il n'y a aucun serveur FR dédié (héhé, on ne te l'a pas dit sur Youtube ? ) .
Globalement, le jeu est beau, complet (tant PvP que PvE, y comprit à haut niveau) , le pex est "globalement" rapide avec des scènes presque pour chaque quête, bref c'est assez réussi et le tout est free-to-play. Respirons.
Précisons que les scénarios des quêtes et les scènes peuvent être passées, pour les plus rapides d'entre vous, vous vous retrouvez à spammer les quêtes (qui ne consistent globalement qu'à parler à des PNJ) et à vous rendre d'un point à l'autre. La pertinence est déjà contestable...
Petit à petit, vous vous rendrez compte de cette évidence : la magie ne prend pas. On se fait chier et on se surprend à pex, à farmer comme sur tant d'autres MMO, pour ne rien faire, un peu perdu et on se décide du jour au lendemain à "delete" sans crier gare.
Le jeu n'a pas à rougir de ses confrères F2P, mais à quoi bon faire la promotion d'une absence d'émotions ?
Certains, toutefois, trouveront peut-être leur bonheur dans son contenu HL.
Have funPublié le 01/05/2017 22:45, modifié le 01/05/2017 22:474 personnes ont trouvé cette critique utile. -
20/04/2017Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 8 ans.J'ai testé ce jeu suite a un faux-clic sur une pub Facebook (comme quoi) .
Et je dois dire que j'ai été agréablement surpris.
D'abord, je tiens a relativiser. Ce jeu n'est pas un MMO au sens classique du terme.
Les interactions sociales sont somme toute limitées, pas du tout essentielles pour avancer, et le jeu est clairement orienté casual avec de nombreuses quêtes en mode AFK, et un mode de combat auto efficace, même trop, puisqu'il n'y a au final pas besoin de connaitre quoi que ce soit aux compétences pour avancer.
Mais il offre quand même une expérience très riche, presque trop parfois, pour qui se laisse tenter à avancer un peu.
En effet, si de prime abord la gestion de ses personnages est assez basiques, toute une palettes de fonctions d'amélioration vient s'ajouter au fil de l'aventure.
Ainsi, au-delà de l’éternel leveling des perso et de l'équipement, vous vous retrouverez à monter indépendamment le niveau de votre monture, de votre costume, de vos ailes, de votre familier, et même d'un petit esprit qui vous suivra partout.
L'effet retors de la chose, c'est qu'on a des objets à profusion, souvent en quantité très limité quand il en faudrait massivement, ou en quantité énorme là où quelques-uns suffisent.
Mais on retrouve ce travers dans la majorité des jeux, ce n'est donc pas inhabituel pour un habitué du genre, qui aura vite fait de vite faire le tri quand la place viendra à manquer.
Le système de combat est très basique, quelque peu rédhibitoire puisque ne laissant que très peu de contrôle, voire inintéressant à cause de son système automatisé, qui permettra de gagner aussi surement qu'en jouant à la main.
Très peu de PvE dans ce jeu, qui offre une très grande place au PvP, dans divers modes de jeu qui, il faut bien le dire, sont très variés.
Un PvP qui est donc une quasi obligation pour espéré progresser, et qui fait donc également le principal défaut du jeu.
Là aussi il faut relativiser, le système est assez bien géré et permet de laisser une chance aux (pas trop) petits, même face aux (pas trop) gros.
Il n'est donc pas rare, en ayant atteint un certain niveau, de se casser les dents contre un autre joueur qui devrait virtuellement être très facilement battu.
MAIS.
Il sera quasi impossible pour un joueur gratuit de rivaliser face à un autre qui aura acheter de l'équipement en boutique.
Et c'est donc là le principal défaut du jeu, et non le moindre.
Il est clairement ce que certains qualifient de "Pay to Win". C'est-à-dire que si vous souhaitez gagner vos combats PvP, vous devrez obligatoirement en passer par la boutique.
Cependant, malgré ce défaut qui le rendra au mieux inintéressant pour les rois de la compétition, pour le petit casual qui dispose de peu de temps, et n'a pas pour prétention de devenir le premier du serveur, il est un choix sympathique qui a au moins le mérite de proposer de vraies bonnes choses réunies dans un seul et même jeu. -
02/04/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.Par ProbzUn jeu de survie très différent de ceux qu'on a pu connaître. Un mélange d'un jeu type bac à sable qui reprend beaucoup des principes qui ont fait la force de Minecraft : dans ce jeu, tout est destructible, vous êtes libre de construire absolument tout ce que vous voulez et c'est une première pour un jeu de survie où les zombies sont omniprésents.
Mais le jeu ne s'arrête pas là puisque le côté survie est très présent : vous devrez faire attention aux classiques barres de soif et de faim mais également faire extrêmement attention aux zombies (sa change d'un DayZ...) car ils seront votre principale préoccupation. Si les zombies sont en effet assez calmes en plein jours, ils gagnent en vitesse et en férocité à partir de 22h jusqu'au petit matin. Inutile donc de vous dire que si vous vous promenez en ville vers 22h, je ne donne pas cher de votre peau.
Le survivant ne devra également pas se contenter de survivre la nuit : tous les sept jours, une horde de zombies fera son apparition et vous attaquera, l'objectif implicite pour le survivant est donc de se débrouiller pour se retrouver dans un endroit sécurisé tous les sept jours (donc J7, J14, J21, etc.) !
La coopération prendra tout son sens dans ce jeu puisque vous devez gérer les zombies et parfois les joueurs. Néanmoins, je préfère prévenir : 7 Days to Die est un jeu PvEvP, le PvP sera beaucoup moins présent que dans un Rust par exemple.
Les graphismes peuvent rebuter, même si des améliorations sont à noter depuis les premières versions. On reste loin d'autres jeux de survie, néanmoins, le jeu est assez bien optimisé et le sacrifice graphique est nécessaire pour pouvoir profiter d'un monde entièrement sandbox et destructible.
En résumé : je vous conseille fortement ce jeu si vous voulez plus de PvE que dans certains jeux comme Rust, et que l'aspect "survie" du jeu vous attire plus que le PvP. Du contenu est ajouté assez régulièrement. Seul point négatif à mon avis : les amateurs de PvP resteront un peu sur leur faim et préfèreront se tourner vers du Rustlike. -
31/03/2017Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 8 ans.3 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Par
Angel-in-
Life is Feudal, aka LiF, est un triptyque de jeux ayant un univers et un moteur graphique commun. Composé d’un survival appelé « Your Own » , d’un jeu de gestion/city builder baptisé « Forest Village » et d’un MMORPG dont l’appellation n’est pas encore connue, et qui pour le moment s’appellera donc simplement « MMO »
Cette licence et ces jeux sont développés par, ou avec, un petit studio indépendant russo-ukrainien : Bitbox Ltd.
On parlera ici plus particulièrement du MMO mais à peu près tout ce qui sera dit est aussi valable pour le survival de 64 joueurs.
Life si Feudal est un MMORPG basé sur une approche ultra-réaliste de ce qu'était la vie au Moyen Age. L’histoire se passe dans une contrée fictive aux alentours de l’an 1000. Jadis, un personnage appelé l’Empereur a réussi à unifier les différentes tribus, mais les anciens dieux ne tardèrent pas à revenir et même la nature semble alors se liguer contre les hommes.
Le joueur incarne un personnage ayant fui un continent ravagé par la famine, la guerre et les maladies, suivant les traces d’autres aventuriers, qu’on appelait jadis « les fous » traversant l’océan vers une terre promise de légendes.
Évidemment, le voyage ne se passe pas vraiment comme prévu, et notre avatar se retrouve donc seul, naufragé sur une plage, avec pour seules possessions des guenilles et quelques cookies...
A la faveur du Dormeur (le dieu de ce jeu) , vous devez trouver votre place dans ce nouveau monde.
Le décor étant planté, parlons du jeu en lui-même.
Rare sont les jeux qui méritent réellement le terme de « Sandbox » qui, au fil des années, est devenu une appellation fourre-tout dans laquelle on classe des jeux ayant vaguement une économie libre et pas ou peu de quêtes...
LiF, lui, au contraire, mérite clairement ce titre. L’économie du jeu est entièrement basée sur les joueurs, il n’y a aucune sorte de PnJ, les seuls êtres vivants qui ne sont pas des joueurs sont des animaux sauvages qui servent bien sûr de matière première.
Le monde ouvert n’est pas un leurre, jamais aucun jeu de ce type n’a permis une telle liberté, tout est modelable, du terrain qu’on peut monter, descendre, aplanir, creuser en galeries, aux arbres en passant par tout un tas d’autres éléments, pratiquement toutes les fantaisies sont possibles. Du village de huttes en bois à l’immense citadelle de pierres de granite tentaculaire, absolument tout est faisable. C’est une question de temps, de nombre et de volonté.
De l’ermite, chasseur solitaire qui troque ses prises contre des biens, au RoI qui règne sur des terres sans fin et d’immenses armées, vous êtes l’architecte de votre destinée.
Le jeu bénéficie d’une logique pratiquement sans faille, absolument tout ce qui est réalisable dans ce jeu, l’est d’une manière pratiquement naturelle et la réponse logique à la question existentielle récurrente « comment on fait pour... » , trouvera souvent une réponse tout aussi logique et naturelle que « comme tu ferais en vrai » ...
LiF est de ces jeux où évaluer ses ambitions est primordial, il est ouvert à tous et à tous les types de joueurs, mais pas pour y faire tout et n’importe quoi. Dans LiF, faire des choix implique, à la manière de EVE, qu'une fois une carrière lancée, changer prendra du temps.
Les combats jouissent du même souci de réalisme au point qu’ils peuvent, parfois, en duel paraitre lents, mais passer en format « bataille » , cette sensation s’évanouie complément, et le plaisir de se battre « à l’ancienne » reprend vite le dessus. Là encore, les choix de carrières sont nombreux et à peu près tout l’arsenal médiéval est présent.
Dans LiF, il n'y a aucune forme de magie, toujours par souci de réalisme, la seule concession qui sera faite au background sera un téléporteur de retour automatique à sa maison, basé sur l'alignement spirituel auprès du Dormeur. Un être classé "bon" aura plus de facilité à en obtenir les faveurs...
On finira par parler des décors, et des jeux de lumières absolument somptueux. On sera moins emballés par les personnages, et leur manque de personnalisation, bien qu’ils demeurent tout à fait corrects.
Si on devait retenir quelques points négatifs, je dirais que l’interface date d’un autre âge, que l’immense liberté du terrain peut également créer des « glitches » parfois pénibles. On ajoutera aussi que le côté « ultra-hardcore » du jeu peut parfois vous donner envie de passer le premier objet préhensible à portée, à travers l’écran du PC... (une mort égale la perte totale de tout ce qu'on a sur soi, plus des perte de compétences, parfois chèrement acquises...) et de nombreux bugs parfois assez étranges (mais le jeu est toujours en alpha) . Les animations des personnages sont parfois assez rigides, mais les développeurs ont déjà prévenu que ces animations seraient sans doute améliorées dans un futur plus ou moins proche.
En conclusion, LiF fait partie de ces expériences de jeu qui laissent des traces, parfois douloureuses. Il n’est donc pas étonnant à l’instar d’autres jeux comme Eve Online que les gens qui s’y sont trouvés une place ne puissent pas le quitter. On comprendra aussi que des joueurs moins investis, moins acharnés, soient partis en courant... tout le monde aura un avis sur LiF, mais personne ne sera indifférent.3 personnes ont trouvé cette critique utile. -
08/03/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.1 personne sur 2 a trouvé cette critique utile.Par sombrerageJe joue à ArcheAge depuis la bêta, et je voudrai bien vous donner envie d'y retourner.
A ceux qui sont déçus, je dirai que la richesse du jeu se découvre peu à peu. De prime abord, il semble facile et même plutôt simpliste.
Si vous vous arrêtez là... bien sûr, autant jouer à n'importe quoi d'autre, vous serez déçus par celui là comme par tous les autres.
Le jeu est beau et profond, mais il se mérite.
Il commence par une phase de levelling (ben oui, comme tous les jeux) , puis vient la complexité... la richesse de l'exploration, les combats, une économie crédible, la liberté tant sur l'eau que sur la terre ou sous l'eau.
Et c'est bien cette liberté qui pose des problèmes aux joueurs habitués à la facilité dirigiste des systèmes quêtes / donjons / stuff.
Mais là est la richesse, là est la vie, et c'est ce qui rend ce jeu attachant.
Choisissez bien votre serveur, histoire de ne pas trop vous faire pourrir la vie (chaque serveur a sa personnalité) , et imprimez votre marque autant par vos actions que par le choix que vous ferez des joueurs auxquels vous allez (forcément) vous associer pour défendre votre territoire ou conquérir celui des autres.
Un dernier "détail" : l'abonnement vous facilite les choses en vous libérant de la nécessité d'avoir les yeux fixés sur vos points de labeur... mais cet abonnement n'est même pas obligatoire puisque vous arriverez aux même résultats en F2P sans cash-shop. Vous mettrez plus de temps, c'est tout.
A bientôt IG.1 personne a trouvé cette critique utile. -
25/02/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.2 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Par phoenixjailJe joue à ce jeu depuis la 2.0 sur le serveur Moogle. J'ai vu le jeu évoluer, ainsi que les joueurs. Je suis joueur PS4 et étant fan de RPG, je n'ai jamais trouvé d'autres jeux aussi satisfaisants, question contenu ou communauté.
Pour les nouveaux joueurs, mon conseil : accrochez-vous ! Le haut niveau vaut vraiment le coup, ne vous arrêtez pas à tous ces avis de joueurs "ouin ouin" qui ont fait 20h sur ce jeu avant de passer à un autre.
FF14 est un jeu complet et communautaire, cross-platform et maintenant cross-serveur, permettant au joueur de jouer 23 classes (et jobs) , avec un seul personnage intégrant un systèmes de rotation propre à chaque classe.
Bien que certains joueurs dénigrent le GCD de 2.5 secondes du jeu, peu de joueurs sont actuellement en mesure de faire des rotations parfaites (en combat - le poteau ne compte pas) .
Malgré ma précédente parole, le gameplay est intuitif et attachant, le jeu est axé plus sur le DPS que les actions de soutien et a cela, on peut regretter qu'il n'y ait pas de parser in game.
Cinq races sont jouables et ont chacune des atouts (minimes certes) mais qui permettent une optimisation vis-à-vis de la classe jouée.
Le système d'artisanat est complet et nécessite des rotations également (et pas juste avoir le cap, les compos et pouf, c'est créé) .
FF14 va vers sa deuxième extension : Stormblood et une carte gigantesque.
FF14 nécessite un abonnement pour jouer (mais pas le PS Plus, pour les joueurs PS4) et même si certains râlent à ce sujet, cet abonnement permet d'éviter le pay to win, les Kévin tueurs de jeu et de garder une communauté saine.
Au dernier recensement, FF14 compte quasiment sept millions d'abo (sans compter les golds sellers x]) , là où aujourd'hui, WoW en compte moins.
En conclusion, Final Fantasy 14 tend à devenir le MMORPG le plus pérenne de sa génération, est un jeu complet et qui n'est pas prêt de s'arrêter.
Veuillez excuser mon orthographe et bon jeu à tous !2 personnes ont trouvé cette critique utile. -
20/02/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.9 personnes sur 11 ont trouvé cette critique utile.Par
Lkyorr
Ce jeu a été pour moi une sorte de révélation. C'est simple, je ne m'en sépare plus, malgré ses défauts, on s'y fait et le fait de pouvoir jouer enfin avec d'autres fans de TES est un plaisir, 1000 fois plus augmenté.
Le jeu offre une grande liberté de jeu bien qu'on puisse grincher un peu quand on est en HL, concernant la construction de notre build ou pour certaines classes - tout du moins si on souhaite jouer comme on le voudrait. Mais malgré ça, il y a quand même moyen de prendre sont pied.
La partie exploration est sympathique même si on n'a pas les mêmes sensations que dans un TES solo. Ce sera une concession à faire. Après, on l'a finalement d'une autre façon quand on veut un set spécifique avec le trait adéquat à notre personnage, tel qu'on a décidé de l’orienter.
Les donjons et raids sont sympathiques à pratiquer, bien que la difficulté du jeu en haut niveau reste mitigée. Il y a une difficulté supplémentaire qui se nomme "vétéran". Elle est là pour rehausser un petit le manque de challenge, à savoir que la difficulté est assez variable en fonction du donjon.
La communauté existe, ce qui fait plaisir. Si on n'a pas l'habitude de la langue de Shakespeare, il y a suffisamment de guildes et de sites pour trouver des informations ou aides de la part d'une communauté francophone.
Le housing est enfin arrivé et ça fait du bien d'avoir son propre toit ^^ Je ne peux encore en juger de ce coté là, car je n'en ai pas encore vu suffisamment pour pouvoir donner une critique.
Question contenu du jeu, il n'y a pas à se plaindre. Le jeu s'améliore beaucoup, offre plus de souplesse et ajoute suffisamment de contenu régulier pour s'occuper. De plus, on a appris l'arrivée d'une extension qui est plus qu'un simple DLC, ce qui peut être rassurant pour se dire que le jeu aura un bon suivi dans l'avenir.9 personnes ont trouvé cette critique utile. -
20/02/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.1 personne sur 1 a trouvé cette critique utile.Par iempireBonjour,
Après avoir tourné deux ans sur TESO, six mois sur FF XIV, six ans sur WoW, essayé Black Desert Online, Skyforge, Rift, Aion, d'autres dont j'ai rapidement oublié le nom, je suis retourné sur AoC. Lassé des univers cartoons, des univers "mignons" et des univers de princesses, je suis reparti dans l'univers Lovecraftien et Ewardien d'Age of Conan.
Je suis un ancien de 2008 après y avoir trainé mes guêtres pendant un an avant de baisser pavillon pour d'autres horizons, me voilà de retour depuis cinq mois et j'y prends, il faut dire, beaucoup de plaisir.
Age of Conan a pris un coup de vieux : les textures sont parfois baveuses ou floues dans pas mal d'endroits. Cependant, globalement, pour un jeu qui va sur ses neuf ans, ça reste vraiment correct. Des zones (comme le Kitai ou des donjons) sont magnifiques. On tranche dans le vif ici. La direction artistique est bien faite, le son incroyable par la bande son.
Beaucoup de bugs ont été corrigés, il en subsiste encore, mais il faudrait être d'une mauvaise foi sans bornes pour dire que le jeu est injouable. Certes, le serveurs freezent parfois, mais franchement, ça reste fluide.
La difficulté d'AoC n'a pas d'égal. Ici, un seul joueur ne peut tout faire... Un élite mérite bien son nom d'élite et vous fera mordre la poussière. Les mobs repopent assez vite, alors malheur à celui qui a mal jugé le temps de sa récupération.
AoC propose 12 classes, chacune disposant de deux orientations. Il existe quatre ethnies (qui n'apportent rien hormis certaines restrictions de classes et l'aspect de l'avatar) . Ainsi on retrouve :
- Le Cimmérien (un Nordien)
- L'Aquilonien (une sorte de Grec)
- Le Stygien (une sorte d'Egyptien)
- Le Kithan (une sorte de Chinois)
Les classes sont :
Les Soldats :
- Le Gardien (tank "classique") - une autre branche dps
- Le Conquérant (tank qui buff avec des bannières et qui a la faculté de faire des rez battle) - une autre branche dps
- Le Templier Noir (tank magique assez cheat, le plus simple des trois à jouer) - une autre branche dps, peut avoir des pets temporaires
Les Maraudeurs :
- L'Assassin (sorte de voleur)
- Le Barbare (un bourrin ^^) - une branche "arme à deux mains ou deux armes"
- L'éclaireur (un archer sans pet) - une branche "arc", l'autre "arbalète"
Les Mages :
- Le Nécromancien (avec ou sans pets) - une branche avec, une sans
- Le Démonologue (sorte de mage givre-feu avec un pet) - une branche plutôt feu, l'autre givre
- Le Hérault de Xotli (un CàC tissu avec une épée à deux main qui fait du feu)
Les Soigneurs :
- Le Prêtre de Mitra (assez classique dans l'esprit) - une autre branche dps
- Le Fléau de Set (pour soigner plus fort et moins cher : il faut dps à distance ! ) - une autre branche dps
- Le Chaman de l'Ours (un peu comme le fléau mais au Cac ^^) - une autre branche dps
Chaque classe a ses avantages et ses faiblesses, toutes sont complémentaires. A noter que les SKILLS sont presque indépendants du TEMPLATE (même si les choix du templates peuvent en ajouter quelques-uns) .
On le voit donc, chaque classe est assez fournie en choix de template, et viennent s'ajouter à cela les Points de Progression Parallèle (PP en français et AA en anglais) .
Les cartes sont assez grandes pour y passer plusieurs heures, mais chaque carte est instanciée et ce n'est pas un "open world".
Comme dans les principaux MMO, il y a des "exploits", des objectifs à faire pour avoir des points qui ouvrent la voix à des récompenses en jeu.
La difficulté est là, les donjons sont sympas, l'ambiance est bien mature. A essayer.Publié le 20/02/2017 15:14, modifié le 20/02/2017 15:231 personne a trouvé cette critique utile. -
20/02/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.Par andiUn des gros avantages de Elvenar, c'est que chaque joueur peut y jouer à son rythme, y compris avec très peu de temps de jeu.
Graphiquement, le jeu est en flash et est réussi.
COMMERCE :
Il est fortement préférable d'appartenir à une confrérie (=guilde, sur d'autres jeux) .
Le jeu encourage en effet fortement le commerce dans la confrérie ou avec ses voisins.
Il y a au contraire une taxe importante pour commercer avec "les autres".
COMBATS :
Il n'y a pas de combats entre joueurs. Les combats sont possibles contre l'ordinateur, qui défend les nouveaux territoires.
Explorer ces nouveaux territoires (organisés ensuite en provinces) permet d'avoir de nouveaux voisins et parfois d'augmenter ses productions par la découverte de reliques et parfois d'étendre la taille de sa ville (extension de provinces) .
Si on ne souhaite pas combattre, il y a la possibilité de négocier un territoire contre des ressources.
VILLE :
Le but du jeu est de faire évoluer sa ville.
Les bâtiments sont de différents types (RESIDENCES, ATELIERS, MANUFACTURES, BATIMENTS CULTURELS...) avec chacun, des différents niveaux.
Un arbre de recherches permet d'accéder à des niveaux de bâtiments plus élevés, produisant plus ou générant plus de culture, parfois aussi il est possible de rechercher à étendre sa ville (extension de recherche) .
Il y a différentes ressources à gérer, chaque ressource pouvant servir à une construction (de bâtiment) , une amélioration (de bâtiment) ou parfois une exploration (de territoires, voir COMBATS) .
Dans les moins :
Une tendance à brider les joueurs trop rapides (beaucoup de temps de jeu) pour s'assurer qu'il y ait pas trop d'écart de vitesse de progression entre l'ensemble des joueurs.Publié le 20/02/2017 11:47, modifié le 20/02/2017 11:48 -
13/02/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.Par Delegnia01Voici un MMO free to play remarquable.
Si Icarus Online est très classique sur la forme avec ses classes vues et archi-revues (mage, berseker, paladin etc.) , c'est bien sur le fond qu'il se démarque.
En fait, j'ai envie de dire que l'ensemble est cohérent et propre, que ce soit les graphismes, les animations ou la musique. Il n’y a rien d’exceptionnel, mais un ensemble bien maîtrisé. C'est cohérent, suffisamment bien réalisé pour immerger le joueur.
C'est bien entendu le coté "chasse aux monstres" qui est vraiment intéressant, on se laisse volontiers prendre au jeu et on passe rapidement plusieurs heures à essayer de compléter son bestiaire, d'autant que chaque animal capturé peut au choix vous servir de monture, de compagnon ou être transformé en ressources qui vous permettront d’améliorer votre équipement ! Sur ce point, je me risquerais même a dire que Icarus online est vraiment novateur et original !
Coté boutique, on retrouve les traditionnelles tenues cosmétiques et quelques buffs supplémentaires vous permettant d'aller plus vite mais je n'ai rien vu de "pay to win". C'est donc un VRAI F2P.
Honnêtement, ce jeu gagne à être connu, pour un F2P, il est vraiment bon. Dommage que la communication ne soit pas au rendez vous car Icarus online mérite d'être connu et essayé ! -
12/02/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.9 personnes sur 13 ont trouvé cette critique utile.Par SkwyNostalgique de la guerre froide ? En thèse sur l'autocratie ? Ou simplement fan de George Orwell ? Inutile de chercher plus loin, le bonheur (perpétuel et obligatoire) vous attend ici !
Un bref aperçu de ce qui vous allez découvrir de l'autre côté du rideau de fer :
Graphismes: dignes de la glorieuse architecture soviétique
Là dessus, tout le monde s'accorde, dès les premiers instants dans le jeu, on se croirait revenu aux années 80. Les animations sont raides et peu variées et les "effets spéciaux" aussi impressionnants que le feu d'artifice lorsque vous gagnez au Mah-jong sur Windows. Tout cela n'empêche évidemment pas le jeu de ramer sur certaines configurations. Toutefois l'imagination aidant, on arrive assez vite à reconnaitre ici un castor, là un gobelin et à s'immerger dans ce bain de (gros) polygones. Seule petite ombre au tableau, les couleurs criardes ne parviennent pas à restituer la beauté du camaïeu de gris d'un ciel moscovite mais qu'importe, ce qui compte ça n'est pas l'esthétique, c'est le fonctionnel ! Passons donc au gameplay.
Jouabilité: la dure vie de fils du prolétariat
A défaut d'un système de quêtes classiques permettant de progresser, l'évolution de votre laborieux avatar se fait principalement par la répétition d'actions simples (cliquer sur un bouton) . Celles-ci vous confèrent l'expérience nécessaire pour passer au stade suivant, c'est-à-dire accomplir de nouvelles actions simples (toujours le même bouton) requérant un niveau plus élevé.
Deux voies s'offrent à vous : le combat ou l'artisanat.
Le combat consiste à cliquer sur des créatures ennemies, le jeu calculant ensuite l'issue du duel en fonction des stats de chacun. Une fois une quantité suffisante d'opposants au Peuple éliminés, on devient assez fort pour passer à la racaille suivante. Ne vous attendez pas pour autant à tailler de l'orc capitaliste dès les premières (dizaines d') heures de jeu. Vos premiers adversaires seront de taille nettement plus raisonnable, comprenez des lapins et des rats.
Véritable coeur du gameplay, l'artisanat se subdivise lui-même en deux sous catégories : la faucille et le marteau.
La faucille tout d'abord. Le jeu vous place ici dans la position d'un honnête moujik arrachant sa subsistance à la terre de la mère patrie. Commencez d'abord par ramasser des légumes (les fameux rutabagas) , jusqu'à devenir suffisamment fort pour travailler dans les mines de charbon. Le principal avantage de cette voie est que l'on peut récolter ou miner tout en étant afk, ce qui permet de faire des choses réellement utiles simultanément, comme, par exemple, jouer à Candy Crush.
Le marteau maintenant. Découvrez ici les joies et les bienfaits de la révolution industrielle. Dans une approche tayloriste, prenez part à une chaine de montage en assemblant des quantités toujours plus grandes du même objet, lequel sera ensuite utilisé afin de créer un autre objet, puis un autre et encore un autre, jusqu'au produit fini... Que vous n'aurez probablement pas les moyens de vous payer, à moins d'être un authentique stakhanoviste du clic (le jeu en est rempli) .
Roleplay: rejoignez la grande épopée nationale
Le point fort du jeu. Malheureusement la perte de vitesse et le manque d'effectifs (cf les autres critiques) en ont fait une chose d'un autre temps. Il s'agit, aujourd'hui, plutôt d'évoquer les grands héros du passé que de forger de nouvelles gloires. Peu de choses à dire donc, même si le jeu avait un réel potentiel à ce niveau là.
Communauté et animation: adhésion au parti non optionnelle
La première chose qui saute aux yeux est la faible fréquentation du jeu : une moyenne d'une vingtaine de joueurs. A ce titre, Landes Eternelles est à peu près aussi "massivement multijoueur" qu'un match de foot ou un repas de famille. Mais qu'importe la quantité tant que l'on a la qualité, pas vrai ?
Ici la principale chose à retenir est la très grande place de l'équipe d'administration dans le fonctionnement du jeu. Véritables apparatchiks, ils règnent d'une main de fer sur une population dont la principale qualité est la docilité. Et pour cause, les dissidents sont sévèrement réprimés, que ce soit par l'envoi au goulag (une zone où il est impossible au personnage d'intéragir de quelque façon que ce soit) ou une bonne vieille "exécution administrative" (un ban pur et simple) .
Bien entendu, il est également possible de se concilier les bonnes grâces du parti, par exemple en participant aux opérations de propagande du jeu (vous avez remarqué à quel point les critiques positives sont proches dans le temps les unes des autres ? Coïncidence ? ) .
Pour le reste, préparez-vous à vous frotter à une bureaucratie que n'aurait pas renié Kafka. Pour exemple, les propositions d'améliorations du jeu doivent d'abord passer par une proposition sur le forum, avant d'être soumise à un panel de joueurs "experts" puis à un membre de l'équipe en charge des suggestions, qui transmet, le cas échéant, au membre de l'équipe en charge du développement, qui transmet à son tour aux développeurs. Bref, la moindre correction dans l'équilibrage du gameplay prend en moyenne plusieurs mois avant d'être réalisée. Il en va de même pour les propositions d'évenements RP.
Malgré tout, le jeu conserve sa poignée de militants fidèles, prêts à défendre l'indéfendable et à jouer à l'injouable. Au delà des critiques, je ne peux que conseiller au joueur occidental de tenter l'expérience, il n'en appréciera que plus, en contraste, les douceurs vidéoludiques du "monde libre".9 personnes ont trouvé cette critique utile. -
25/01/2017Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 8 ans.1 personne sur 2 a trouvé cette critique utile.Par Ludvik44Comme pour un jeu de rôle conventionnel, on rentre dans la peau de son personnage et on oublie que l'on est au 21e siècle. Graphiquement, le jeu est très beau mais non optimisé du fait qu'il est encore en 32 bits, mais il va bientôt passer en 64 et là, il pourra montrer tout son potentiel sans avoir de problème mémoire.
On attend avec impatience la version MMO qui va pouvoir nous rassembler sur une carte gigantesque à savoir 49 fois plus grande que celle du jeu version "Your Own".
Ce jeu est une vraie simulation et cela se ressent déjà sur le plaisir de travailler pour avoir de quoi se battre ; cela change des jeux où tu es le roi du monde à peine trois heures après avoir débuter le jeu. Cela prend forme grâce à un système de craft bien sympa, qui vous met dans la peau d'un "spécialiste" (surtout dans le MMO car sur "Your Own", on peut aller sur des serveurs où l'on peut faire tous les métiers) , à savoir menuisier, forgeron, forestier, arctier, ingénieur de siège, etc., sans compter la spécialité de combat dans laquelle on peut aussi s'orienter à savoir, combat à pied ou à cheval, armes à une main et bouclier ou armes à deux mains, contact ou distance, etc.
Le système des items se base sur de la qualité comprise de 1 à 100 et la recherche de l'excellence, comme par exemple forger une épée de chevalier qualité 100, est un système qui donne un but à chaque artisan. Ce système fait rentrer en compte le matériau utilisé pour fabriquer l'objet désiré mais aussi les outils de fabrication comme la forge et le marteau de forgeron dans notre exemple, sans oublier le niveau de votre compétence dans l'artisanat en question.
Le combat est très réaliste et demande de la maîtrise par le joueur et non par l'avatar comme dans d'autres jeux.
Il y aurait tant à dire sur ce jeu tellement il est génial.
En tout cas pour les joueurs qui aiment travailler et avoir une reconnaissance de leur travail et donc en retirer une satisfaction, ce jeu est fait pour vous. Pour les joueurs qui aiment la coopération et le travail en équipe, ce jeu est aussi fait pour vous. Pour les joueurs qui veulent se plonger dans la période médiévale et en découdre avec les ennemis du royaume, alors vous aussi, n'hésitez pas à jouer à Life is Feudal.1 personne a trouvé cette critique utile. -
22/01/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.0 personne sur 2 a trouvé cette critique utile.Le jeu en lui-même est excellent, l'artisanat est très simple mais suffisant, les graphismes sont anciens mais propres, pas de points faibles rédhibitoires intrinsèques au jeu.
Un excellent système de spécialisations (qui sont presque 24 classes à part entière) , tant dans leur obtention que dans leur utilisation et améliorations. Des quêtes prenantes, de l'xp en PvP et en famille [guilde].
Le jeu n'est pas parfait mais il est vraiment attachant et l'on découvre sans cesse de nouvelles zones très différentes.
J'ai adoré les musiques, elles font l'ADN et la personnalité des zones, elles sont top.
On dira que cet univers n'est pas hyper crédible et un peu enfantin mais on s'y fait et on dépasse rapidement cette barrière.
Le gros inconvénient, c'est que les développeurs ont fait un super jeu mais que le distributeur (Gameforge) a détruit le jeu en mettant le cashop de plus en plus au centre de l'économie. Les plus riches ne sont même pas ceux qui mettent de l'argent IRL mais les acheteurs / revendeurs multi-milliardaires. Ces gens dépassent même la limite d'argent par perso et créent des mules argents. Ils déstabilisent l'économie en dévalisant les objets du cashshop de l'hôtel des ventes et en gonflant les prix par 10. Résultat : le jeu se vide et le jeu est mort.
Il y a toujours la possibilité de découvrir le jeu avec des amis (mais les groupes sont limités à trois) jusqu'à 80 % du jeu mais après...
Ah oui, et une des trois classes, les mages, sont injouables en pvp, ce qui supprime la pratiquement la moitié de l'intérêt du jeu (il est impossible de leur trouver du stuff ou alors hors de prix et il est impossible de le revendre par la suite et donc il est encore plus difficile d'acheter le stuff suivant) .
Autres points négatifs : la variété du stuff est très faible et le système de rune très mauvais.0 personne a trouvé cette critique utile. -
30/01/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.Tout le contenu se situe en end-game (je veux surtout parler du pvp) mais pour y arriver, on doit se taper pas mal d'heures de quêtes. C'est très bien fait et ça aurait pu m'aller sauf que le gameplay est ultra répétitif (pour les 20 premières heures de jeu, je suppose que ça se complexifie par la suite) . Tuer des mobs avec deux clics, je suis désolé mais je ne peux pas le faire pendant 20 ou 40h de plus pour enfin avoir accès au "vrai" contenu. Surtout que tout est instancié, c'est limite si on a pas un charment entre le hall et le salon.
Passé ce problème, tout le reste est parfait : le scénario est bien foutu, le sentiment de liberté très fort (on court très vite et on fait des vols planés très impressionnants, ça n'a l'air de rien dit comme ça, mais c'est franchement cool) , l'environnement asiatique est très crédible, le rôle play et l'immersion sont bons, le jeu est techniquement et visuellement au top du top.
Conclusion :
Rien à redire, je re-testerai sûrement un jour mais pour le moment, je suis trop dégouté de tuer des mobs seuls, ce qui se résume à clic droit puis clic gauche, clic droit, gauche, g/d, ... à répétition.
Remarque : ah oui, et puis l'inventaire déjà plein, on ne sait pas trop quoi jeter ou quoi faire de son surplus donc on a l'impression de stagner et ça devient encore plus dur de se motiver à farmer les quêtes.
C'est le premier coup au moral qui m'a fait arrêter le jeu et la personnalité de l'univers n'a pas réussi à me retenir.Publié le 22/01/2017 21:13, modifié le 30/01/2017 16:35 - Afficher les critiques suivantes